Fournir une rétroaction appropriée. Une fois que vous êtes convaincu que l’adolescent s’est pleinement exprimé, réfléchissez aux mots clés et aux faits qui ont été mentionnés. Demandez à l’adolescent quel serait le résultat souhaité dans sa situation actuelle. (comment veulent-ils que leur situation se termine). Concentrez-vous sur ce dont l’adolescent veut vraiment parler. Essayez d’établir un lien avec ces points et utilisez votre expérience pour guider l’adolescent dans une direction sûre vers l’objectif qu’il souhaite atteindre.
Faites preuve de prudence. Faites attention de ne pas trop vous mêler de la situation. La frontière entre donner des conseils et dire à quelqu’un ce qu’il doit faire est ténue. En tant que « mentor », vous ne pouvez pas être le « juge ». La plupart du temps, ce n’est pas aussi simple q! ue le bien ou le mal. Cet article encourage le « mentor » à engager une conversation pour tenter de clarifier et de simplifier le problème ou le défi, puis d’aider l’adolescent à trouver lui-même la bonne réponse, tout en lui faisant confiance et en l’encourageant à faire confiance à sa capacité d’atteindre le résultat souhaité.
S’assurer que la rencontre avec l’adolescent se déroule dans un endroit neutre, loin de son environnement habituel (à moins que l’adolescent ne demande à le rencontrer à l’endroit de son choix). De cette façon, vous pouvez contrôler le type d’atmosphère à laquelle l’adolescent sera exposé. C’est très important car les adolescents s’adaptent souvent plus facilement à l’atmosphère d’un endroit que ne le ferait un adulte. Un endroit avec un espace ouvert et calme est formidable car il favorise la relaxation (encourageant l’adolescent à parler plus librement).
Lorsqu’il s’agit dâ€! ™engager l’adolescent, il est utile de donner l’impression! qu’il est énergique et intéressé. Demandez à l’adolescent comment il/elle se sent et renseignez-vous sur ce qui s’est passé dans sa vie. L’objectif est de les faire parler sans que leurs « murs de protection » psychologiques soient en place.
Soyez clair sur vos intentions. Demandez-vous pourquoi vous aimeriez remplir ce rôle particulier de  » mentor  » auprès des jeunes. Vous devriez aussi vous demander si vous pouvez vous engager à long terme. (Avez-vous l’énergie, la passion et le temps libre ?) Rappelez-vous que pour être un mentor, il faut de la confiance et qu’il ne peut y avoir de confiance sans une sorte de relation entre le « mentor » et l’adolescent et que cela prend du temps à construire.
Sachez ce qu’il y a de mieux. Dans des cas comme ceux mentionnés ci-dessus, cet article suggère fortement que le lecteur (mentor) encourage fortement l’aide professionnelle. La meilleure chose qu’un  » mentor  » puisse! faire dans ces situations est d’écouter et de montrer à l’adolescent qu’on peut lui faire confiance et lui confier l’information qu’il partage avec vous (le mentor). Portez une attention particulière aux détails lors des conversations, car cela pourrait être utile plus tard. Essayez de guider l’adolescent dans sa décision de demander l’aide d’un professionnel et engagez votre soutien (si possible) pour la durée de ces séances.
Soyez attentif à l’expression de votre visage et à la posture de votre corps. Si vous semblez distrait ou mal à l’aise, ils le remarqueront et des sentiments ou des pensées négatives les amèneront à penser que vous ne voulez pas vraiment être là .
Écoutez plus que vous ne parlez. Portez une attention particulière aux mots clés qu’ils pourraient utiliser dans leurs phrases pour indiquer des sentiments forts ou des intentions. Ne les interrompez jamais pendant qu’ils parlent, laissez-les dire tout ! ce qu’ils voulaient dire avant de commenter ou de poser des questions! .
Identifier la cause profonde. Il sera facile pour la plupart des adultes de s’identifier à certaines questions et d’offrir de bons conseils positifs comme la façon de choisir une bonne carrière ou des problèmes relationnels, etc. Cependant, il peut se passer quelque chose de bien pire dans la vie de l’adolescent. Il s’agit de problèmes tels que l’abus, la toxicomanie, les pensées suicidaires, etc.
Offrez des encouragements positifs. Lorsque la conversation est terminée et que le moment est venu de se séparer, essayez de les encourager en leur disant à quel point c’était merveilleux d’être dans leur conversation et de leur faire savoir que vous croyez en eux, faites-leur confiance pour faire des choix positifs dans leur propre vie et leur rappeler la bonne personne forte que vous voyez en eux. Cela leur donnera la motivation dont ils ont besoin pour commencer un changement positif dans leur vie.
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